A Neuilly? Je ne sais plus le nom de cette grande avenue à laquelle je pense, je ne l'ai prise qu'en voiture. Après l'arc de Triomphe, en allant vers la Normandie, est-ce ça?
J'avais envie ce soir de vous souhaiter une belle nuit. Je souhaite qu'elle vous soit douce et pleine de rêves. Je n'ose pas trop "commenter" de peur de briser la volupté de vos mots et de vos photos. J'ai peur d'être maladroite... mais j'avais tellement envie de vous serrer dans mes bras... Je ne peux que vous souhaiter une douce nuit... A bientôt ! A demain ?
merci pour vos commentataires, sachez qu'ils me manaquent quand ils n'apparaissent, réellement j'ai besoin de votre chaleur, de vos mots, ils sont un doux moyen de communiquer, de rester vivante, de vivre encore pleinement même si ce n'est plus pareil. Depuis longtemps ce matin je suis réveillée et le cerveau travaille tellement! je ne vous connais pas mais c'est comme si, anonyme ou un prénom c'est bien, je vous reconnais, c'est incroyable comme on s'attache, le virtuel ne l'est pas du tout ici, c'est un bienfait, merci.
Oui c'est l'avenue Charles de Gaulle de Neuilly, devant le 100 de l'avenue dans les années 50. C'est fou comme on était moins nombreux n'est-ce pas? Zavez-vu tout l'espace pour garer sa voiture que d'ailleurs à l'époque peu avaient! Petite nostalgie quand même!... :)
Bonjour Nini, j'ai découvert votre blog hier et je vous aime déjà ! Passez une bonne journée, je vais penser à vous et vous envoyer plein de bonnes ondes Je vous embrasse
Isabelle
ps : je comprends bien votre refus de chimio et de radio, je pense que j'en aurai fait autant, mais avez-vous aussi écarté sciemment les médecines douces, qui font parfois des miracles ? (ne me répondez pas si la question vous fâche ou vous fatigue)
J'ai découvert grâce à vous Christian Bobin. En sortant du bureau, je suis allée à la librairie Mollat hier soir. Je vais commencer mes lectures par "Le très bas" et "La plus que vive". Comment avez-vous découvert cet auteur ?
Bonjour Nini, je passais seulement te souhaiter une bonne journée, sans douleur, avec toi sur l'ordinateur qui nous écrit à la fois des posts plein d'émotion, qui nous publie de jolies photos et qui va prochainement j'espère mettre en ligne les chroniques promises. Il est clair que ta vie a été si riche que tu as plein de choses à nous faire partager. Je t'embrasse fort.
zut!!! ratée pour la chanson je te mets une partie des paroles c'est une chanson de Calogéro et Grand corps malade : de l'ombre et la lumière.
C'est l'hiver en 2008, quelque part à Paris J'ai démarré la voiture pour échapper à ce temps pourri La porte du café tremble encore, dehors la pluie fouette le bitume A chacun sa ruée vers l'or, j'accélère à travers la brume Puisque mon temps est limité, mes choix doivent être à la hauteur C'est une course contre la montre ou une course contre la peur C'est toujours la même chevauchée, on vise la lueur droit devant Même si cette quête est insensée, je cours pour me sentir vivant
De l'ombre ou de la lumière Lequel des deux nous éclaire On marche vers le soleil Dans les couleurs de l'hiver
De l'ombre ou de la lumière Depuis le temps que j'espère Retrouver dans un sourire Toutes les lois de l'univers
Vos mots nous sont precieux aussi, nous les attendons avec impatience ;-) Moi aussi je me leve tot, pour d'autres raisons. J'aime le calme du matin, le silence de la nuit, voir le soleil se lever et dire au revoir a la lune. Un gros bisou depuis l'autre cote de l'Atlantique
Bonjour, Annie, l'artiste, la danseuse. Merci pour vos jolies photos et vos commentaires sensibles. Je suis auprès de vous en pensées, même au petit matin, quand vous vous réveillez. Je vous embrasse, dans l'espérance. Lucie.
Pas tous les jours mais presque, selon ma santé et mon humeur, un petit billet sur l'encrabouillement de mon corps, ceci tant que mon esprit restera clair.
Le 24 septembre dernier, mon fils et moi déguisés en insectes pour l'anniversaire d'Anastasia...
sur les toits de l'Opéra, quand j'étais jeune...
mes vingt ans...
Entrée à l'hôpital le mardi 27 octobre 2009 pour une phlébite avec embolie pulmonaire, on m'annonce le surlendemain que je suis atteinte d'un cancer avancé puisque des métastases se sont installées partout. Des examens plus poussés révèleront qu'il s'agit d'un cancer incurable et on me fait comprendre que mes jours sont comptés. Le jeudi 5 novembre on me renvoie chez moi sur un brancard avec l'arsenal de la mourante: oxygène et compagnie. Bye bye Nini, dégage, meurs chez toi, que le voyage te conduise au Père Eternel!
Hé là! ça va pas la tête? j'ai pas envie de mourir tout de suite moi! Je veux au moins fêter mes 70 ans le 18 avril prochain!
Mes deux petites-filles : Anastasia embrassant sa petite soeur Aliénor qui vient de naître, et leur maman Iveta
Joli et précieux souvenir de mes élèves m'offrant des fleurs après le spectacle...
Hé hé ! j'avais quand même 50 ans là !
Troïka me manque tellement...
Tosca aussi...
ma Totoche, mon Titi...
Bientôt en ligne le suivi des chroniques de Nini, l'auteur de ce blog, chroniques puisées ça et là au gré des années passées, témoignage d'une vie retrouvée morcelée en quartier d'orange sur les dossiers éparpillés de l'ordinateur, un peu de ménage s'imposait et rien n'est plus vivant que de revivre sans nostalgie quelques épisodes d'une époque plus ou moins chère à l'auteur...
Ainsi pour répondre à l'une ou l'un d'entre vous parmi les amis commenteurs, en effet j'avais bien posté une Bande Dessinée mais le cadre ne s'y prêtait pas, voilà pourquoi un bon hébergeur se mettra à la suite de ce blog pour accueillir mes caprices d'enfant gâtée! Ainsi pourrez-vous lire ou non, il suffira d'un clic pour passer ou non son chemin...
A Neuilly?
RépondreSupprimerJe ne sais plus le nom de cette grande avenue à laquelle je pense, je ne l'ai prise qu'en voiture.
Après l'arc de Triomphe, en allant vers la Normandie, est-ce ça?
J'avais envie ce soir de vous souhaiter une belle nuit. Je souhaite qu'elle vous soit douce et pleine de rêves. Je n'ose pas trop "commenter" de peur de briser la volupté de vos mots et de vos photos. J'ai peur d'être maladroite... mais j'avais tellement envie de vous serrer dans mes bras... Je ne peux que vous souhaiter une douce nuit...
RépondreSupprimerA bientôt ! A demain ?
Stéphanie
S'agirait-il de Versailles...?
RépondreSupprimerComment te sens-tu aujourd'hui, Annie ?
Je t'envoie toute mon affection.
Anne
merci pour vos commentataires, sachez qu'ils me manaquent quand ils n'apparaissent, réellement j'ai besoin de votre chaleur, de vos mots, ils sont un doux moyen de communiquer, de rester vivante, de vivre encore pleinement même si ce n'est plus pareil. Depuis longtemps ce matin je suis réveillée et le cerveau travaille tellement! je ne vous connais pas mais c'est comme si, anonyme ou un prénom c'est bien, je vous reconnais, c'est incroyable comme on s'attache, le virtuel ne l'est pas du tout ici, c'est un bienfait, merci.
RépondreSupprimerOui c'est l'avenue Charles de Gaulle de Neuilly, devant le 100 de l'avenue dans les années 50. C'est fou comme on était moins nombreux n'est-ce pas? Zavez-vu tout l'espace pour garer sa voiture que d'ailleurs à l'époque peu avaient! Petite nostalgie quand même!... :)
Bonjour Nini, j'ai découvert votre blog hier et je vous aime déjà !
RépondreSupprimerPassez une bonne journée, je vais penser à vous et vous envoyer plein de bonnes ondes
Je vous embrasse
Isabelle
ps : je comprends bien votre refus de chimio et de radio, je pense que j'en aurai fait autant, mais avez-vous aussi écarté sciemment les médecines douces, qui font parfois des miracles ? (ne me répondez pas si la question vous fâche ou vous fatigue)
Bonjour Annie,
RépondreSupprimerJ'ai découvert grâce à vous Christian Bobin. En sortant du bureau, je suis allée à la librairie Mollat hier soir. Je vais commencer mes lectures par "Le très bas" et "La plus que vive".
Comment avez-vous découvert cet auteur ?
Je vous embrasse très fort.
Catherine
Bonjour Nini,
RépondreSupprimerje passais seulement te souhaiter une bonne journée, sans douleur, avec toi sur l'ordinateur qui nous écrit à la fois des posts plein d'émotion, qui nous publie de jolies photos et qui va prochainement j'espère mettre en ligne les chroniques promises.
Il est clair que ta vie a été si riche que tu as plein de choses à nous faire partager.
Je t'embrasse fort.
kikou Annie
RépondreSupprimerJ'écoute cette chanson et je pense à toi :
http://www.youtube.com/watch?v=H46KRMzfj5s
Pour une journée pleine de soleil et surtout sans souffrance.
Je te bizouille très fort ma douce...
Nicole alias Delta de doctissimo
zut!!! ratée pour la chanson je te mets une partie des paroles c'est une chanson de Calogéro et Grand corps malade : de l'ombre et la lumière.
RépondreSupprimerC'est l'hiver en 2008, quelque part à Paris
J'ai démarré la voiture pour échapper à ce temps pourri
La porte du café tremble encore, dehors la pluie fouette le bitume
A chacun sa ruée vers l'or, j'accélère à travers la brume
Puisque mon temps est limité, mes choix doivent être à la hauteur
C'est une course contre la montre ou une course contre la peur
C'est toujours la même chevauchée, on vise la lueur droit devant
Même si cette quête est insensée, je cours pour me sentir vivant
De l'ombre ou de la lumière
Lequel des deux nous éclaire
On marche vers le soleil
Dans les couleurs de l'hiver
De l'ombre ou de la lumière
Depuis le temps que j'espère
Retrouver dans un sourire
Toutes les lois de l'univers
Bonjour Annie!
RépondreSupprimerVos mots nous sont precieux aussi, nous les attendons avec impatience ;-)
Moi aussi je me leve tot, pour d'autres raisons. J'aime le calme du matin, le silence de la nuit, voir le soleil se lever et dire au revoir a la lune.
Un gros bisou depuis l'autre cote de l'Atlantique
Bonjour, Annie, l'artiste, la danseuse. Merci pour vos jolies photos et vos commentaires sensibles. Je suis auprès de vous en pensées, même au petit matin, quand vous vous réveillez. Je vous embrasse, dans l'espérance. Lucie.
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